Passer d’un à trois croisements est un défi important, tant au niveau des locaux qu’au niveau de la logistique et avec une augmentation notoire des coûts de production, mais nous avons réussi à obtenir un Duroc unique.
Depuis 1957, nous disposions déjà d’un Duroc 50 %. C’est à partir de 2005 que nous avons décidé de faire un pas de plus, de faire un croisement de plus avec un mâle Duroc pour atteindre les 75 % de pureté en 2006. Les premières carcasses sorties de ce croisement présentent de très bons résultats au niveau de leur qualité, ce qui nous a encouragés à faire un pas de plus et d’envisager un nouveau croisement. Des années de travail intense et pas toujours récompensées, mais au final, en 2014, nous constatons que nous avons obtenu une viande extraordinaire avec l’arrivée des premières dispositions du Duroc 85 %. C’est à partir de 2015 que nous avons mis à disposition dans nos locaux le produit adéquat afin que notre charcutier puisse terminer dignement cette aventure fantastique avec un jambon unique, l’ARBU.
Depuis 1957, nous disposions déjà d’un Duroc 50 %. C’est à partir de 2005 que nous avons décidé de faire un pas de plus, de faire un croisement de plus avec un mâle Duroc pour atteindre les 75 % de pureté en 2006. Les premières carcasses sorties de ce croisement présentent de très bons résultats au niveau de leur qualité, ce qui nous a encouragés à faire un pas de plus et d’envisager un nouveau croisement. Des années de travail intense et pas toujours récompensées, mais au final, en 2014, nous constatons que nous avons obtenu une viande extraordinaire avec l’arrivée des premières dispositions du Duroc 85 %. C’est à partir de 2015 que nous avons mis à disposition dans nos locaux le produit adéquat afin que notre charcutier puisse terminer dignement cette aventure fantastique avec un jambon unique, l’ARBU.
